toxicomanie

Encore aujourd’hui, certaines personnes hésitent à demander de l’aide à cause des peurs qu’elles entretiennent dans leur esprit : peur de passer pour une personne incompétente ou inintelligente; peur de faire rire de soi et de perdre la face; peur de se faire dire non; peur de déranger; peur de ne pas être prises au sérieux; peur de ne pas être comprises; peur d’être considérées comme étant faibles et bien d’autres raisons encore. Quoi dire à tous ces gens qui souffrent en silence et qui n’osent pas solliciter l’aide d’un ami, d’un parent, d’un collègue, d’un voisin, d’un psychologue ou d’un autre professionnel de la santé?.

Quand on fait appel aux autres en cas de difficulté, nous nous ouvrons à la possibilité de découvrir combien cette aide est utile, précieuse et, parfois même, indispensable. Et quelle satisfaction de pouvoir aider un ami dans le besoin, un ado, un oncle ou même un étranger! Se priver de l’aide des autres, c’est refuser un cadeau salutaire et se condamner à rester seul avec notre souffrance.  

Il est vrai que ce n’est pas toujours facile de demander de l’aide, mais ô combien la délivrance est douce quand on fait un premier pas dans cette direction! Solliciter l’aide de quelqu’un, c’est partir du bon pied. Et c’est déjà le début de la fin du problème. Bien que la course puisse être longue et que des embûches se dresseront assurément durant le parcours, il n’en demeure pas moins qu’en franchissant la ligne d’arrivée, le sentiment de satisfaction et de fierté personnelles sera mille fois plus intense que la souffrance éprouvée et les difficultés rencontrées en cours de route. Mohamed Ali a dit un jour : « Je détestais chaque minute de mon entraînement, mais je me disais : Souffre maintenant et tu vivras le reste de ta vie en champion. »

Allez-y, faites comme lui, faites le premier pas, demandez l’aide dont vous avez besoin et contactez-nous!.